À l’occasion de l’inauguration du 25e arrondissement de sûreté nationale dans la zone de Sidi Youssef Ben Ali à Marrakech, en célébration de la Fête du Trône, couvrant une superficie de 16 kilomètres carrés et comprenant environ 4 000 habitants, Mohamed AlHarouali, coordinateur de la région Marrakech-Safi de l’Observatoire national de lutte contre la corruption et de protection des deniers publics, a déclaré au site électronique <Hona24>>, que cette ouverture, qui a été ordonnée par le Directeur général de la sûreté nationale, M. El Hamouchi, et supervisée par le Wali de la sûreté nationale à Marrakech en présence des responsables judiciaires et territoriaux, s’inscrit dans le cadre du rapprochement de l’administration aux citoyens et de la facilitation de leurs démarches administratives.

M. Al Harouali a également souligné l’importance de cet acte pour renforcer la sécurité dans la ville de Marrakech, ville de renommée mondiale qui accueille des événements internationaux majeures et la présence de personnalités influentes, ainsi qu’un grand nombre de visiteurs et résidents étrangers , ce qui nécessite une vigilance continue pour faire face aux crimes.

La prefecture de Sidi Youssef Ben Ali Marrakech, connue pour sa densité et sa diversité démographique, ainsi que pour la disparité des segments sociaux, est un exemple vivant des défis de sécurité auxquels est confrontée la ville de Marrakech. Cela exige une performance des forces de l’ordre, une compétence accrue, des méthodes de déploiement efficaces et une lutte proactive contre la criminalité, en combattant ses causes ou en répondant instantanément aux plaintes des citoyens, en surveillant les diverses anomalies sécuritaires par le biais du travail de la police et de ses spécialités sur le terrain, comme la police scientifique et technique, renforçant ainsi la lutte contre la criminalité et la présentation de ses auteurs devant la justice, dans le respect des règles légales et des droits de l’homme, sous la supervision du parquet compétent.

Cela constitue une concrétisation pratique de l’ouverture de la sûreté nationale aux acteurs de la société civile et aux aspirations des militants des droits de l’homme.